Avalon, nouveau Royaume...

Une ombre fine se fauflait lentement sur la grande Allée. Sa marche était rapide, ses botte calquaient sur les pavers en pierre. On entendait des marchand ambulant s'égossillier pour liquider le plus de fruits, d'olives ou de gateaux, certaines femmes s'arrettaient et essayais de marchander. Des gamins courrait dans tout sens, volant parfois des fruits au passage. L'ombre était vétu d'une longue cape noir, sur sa tête était abaisser un capuchon. Les traits de son visage fin, malgrès ses cerne plutôt prononcer et ses joue creuser a cause d'une manque de repas fait depuis qu'il avait quitter Gadar Narzùl . Cela fessait deux nuits qu'il n'avait pas dormit ni manger, il avancait vers les quais, ou l'attendait un navire...

Le vent était plutôt fort, la mer s'agitait, on pouvait voir, bien plus loin d'immense lames. Le soleil était cacher derrière d'immense volumes de vapeur grisatre. Certain rayons arrivais a percer, mais la ville était plonger dans l'oscuriter. On pouvais entendre des lambeaux de conversation et des rires dominaient de temps en temps a autre la rumeur des voix. Des mendiants agenouillés au bord des engars, ou des pêcheurs préparais leurs poissons péchait le matin même, demandait l'aumône aux passants indifférents.

Le navire l'attandait silencieusement, poser comme un fantome, sur des rondin, la coque puissante était faite avec du chêne, l'étrave faite avec des pins. Le capitaine, une pipe en bois dans la bouche, parlait a un de ses hommes. Il avait une longue barbe grise, parcemer par de la barbe blanche. Des ride profonde creusais sur son front. Il devait être assez agé, vers les cinquantaine. En voyant arriver son dernier voyageur.

Aller ! Plus vite ! On'a pas que s'affaire ! On'oit partir tôt !

On voyait bien qu'il n'avait pas été a l'école, son accent plutôt démesurer et son vocabulaire plutôt famillier. Un bourasque retiras le capuchon, pour faire découvrir le visage du jeune homme... Se visage appartennais a Énéon. Le jeune pince ne remit pas son capuchon et il montat dans son navire. Peux a peux les hommes du caitaine arrivèrent, quand tous furent arriver, vint la mise a l'eau. Tirant fort a l'aide de puissant cordage , les uns devant la proue , les autres part et d'autre de la poupe , les marins firent glisser le navire sur son chemin de rondins avec énergie mal répartie. L'embarcation piqua légèrement du nez.
Les voyageurs remuèrent un peu. Les marins redoublèrent d'ardeur et ne firent que d'ensabler davantage . Ils ne tardèrent pas a s'épuiser. Une foule s'approchait doucement, construissant un cercle autour d'eux. Énéon les regardait abandonner peu a peu, il sautat du bond et tombat au sol. La caresse du vent lui effleura la joue droite et vint faire danser ses mèches sombre. Lentement, notre jeune prince de toute beauté commencat a pousser le navire, celui si bougeas un peu. Il evait a tout prit s'éloigner d'ici, essayant d'épachapper a son passer. Les hommes échangèrent des regards supris. La force dont il fessait preuve les encourageais a revenir l'aider. Les marins, ragaillardis, se saisirent des cordages. Le mouvement de l'un ne contrariait plus celui de l'autre; et le navire recommencait a bouger. Il fut halé ainsi en cadence et, bientôt, flottat sur la mer.Énéon fut applaudit et même aclamer pour sa force, il n'y avait portant pas attentionn n'importe quel homme en aurait profiter...mais pas lui. Il n'était pas humain..il ne l'était plus.

Les jours passèrent, long, sans fin. Le jeune prince se lassais du navire. Rien n'avait d'interet ici, plusieurs fois, le bateau fit escale sur des îles pour laisser des voyageur partir, ou pour reprendre des vives. A la fin du périple, il ne restait plus qu'une ombre, seul, dans son coin. Plus il s'éloignais du Royaume plus la mer était vive et que la capitaine voulait renoncer, mais a chaque fois le démon le fessait aller plus loin. Se qu'il lui disait été plutôt...percoisif.

Une tempête se levas...Le navire était dans la houle, la capitaine dans tout ses états. Toute cette agitation exitat Énéon. La coque craquas dangereusement avant de faire apparaitre une fissure. Certain marins sautait a l'eau, savant que leurs fin était proche. Une grande lame s'abbatit sur le bateaux, qui en dispercat les poutre comme des fétus. Certain homme moururent. L'ombre, lui attrappas un bout de poutre, qui errais au grès des vague, elle parraissais encore assez solide. Il s'accrochat fortement, pour ne pas tomber et il laissas les vagues le mener.
Pendant deux jours et deux nuits, dans la houle, il dériva. Enfin, les vents tombèrent, et le ciel fut apaisé. Il put attiendre le rivage encore inconnu. Emporté par les flots tumulteux, il manquas plusieurs fois de si fracasser contre les rochers. A chaque reflux, il était emporté au large, tandis que chaque vague l'entrainait dangereusement contre les roches. Enfin, parvenant a fuir les tourbillons du rivages, il nageas le long de la côte en cherchant une plage a pente douce ou une crique acueillante. Il gagnas l'emboubouchure plus calme d'un fleuve. La violence de la mer l'avait épuisé, sa peau était tout gonflée, l'eau ruisselait a flots de sa bouche et de ses narines. Il haletait sens plus de voix.

Là il pu reprendre un de calme et de souffle. Enfin, il pu gagner la terre ferme où les joncs abondaient. Il lancat le bout de radeau dans le fleuve, puis il se couchat sur le rivage, au pied de deux oliviers étroitement enlacés.

Melliandra goûtait la paix des Hauts plateaux. Elle faisait tranquillement route vers Palanthas où elle devait récupérer une commande : une nouvelle lame pour remplacer sa dague qui commençait à s'user quelque peu. Bien entendu elle avait confié ce travail au meilleur forgeron d'Arathi, qui justement habitait à Palanthas.
Pour le moment elle se contentait de savourer le magnifique paysage. Des plaines verdoyantes afffichait leur beauté à perte de vue, au milieu desquelles serpentait l'Arathas, comme un long ruban bleu.
Chose rare, Melliandra se sentai parfaitement détendue, seule au milieu de ce paysage idyllique. Elle suivait le fleuve, appréciant sa fraîcheur en cette chaude journée d'été.

Elle marchait en fredonnant le long de la rive quand une chose étrange couché au pieds de deux oliviers attira son attention. De loin elle crut à un paquet de vêtement, mais au fur et à mesure de ces pas, elle se rendit compte que le paquet en question respirait.
Elle courut jusqu'à l'homme allongé par terre, qui avait l'air proprement exténué. Ses habits, tout comme lui était trempés. Pas difficile de deviner qu'il sortait d'une baignade forcée. Melliandra fit la grimace devant l'état du jeune homme. Bon ce n'était pas dans ses habitudes de jouer la bonne samaritaine, mais elle ne pouvait pas décemment le laisser ainsi.

Elle sortit donc du sous-bois, se faisant ainsi remarquer de l'homme. Dans un geste universel, elle présenta ses mains paumes ouvertes pour signifier ses intentions pacifiques, tout en observant le jeune homme.
Il était plutôt étrange ; une peau anormalement pâle, et des yeux à l'éclat étrange qui la mirent aussitôt mal à l'aise. Enfin pour le moment le voyageur donnait l'impression de ne pas pouvoir faire de mal à une mouche !

"Je me nomme Melliandra, est-ce que vous avez besoin de quelque chose ?" demanda-t-elle gentimment

Involontairement, elle plogea ses yeux noisettes dans ceux indéfinissables de son vis-à-vis. Elle frissona, cet homme dégageait une telle aura de pouvoir ! C'était inquiétant.

L'ombre, étendut au sol les yeux mi clos, le souffle réduit a un sifflement aigue, le visage coter terre,regardait droit devant lui le fleuve qui en fessant des méandres se jettait dans la mer en formant un delta. Sur cette ligne scintillante flottait des bout de bois qui vennait de l'embarcation, du lointain montait le grondement monotone des vagues. Une odeur de sel appaissas le blesser. Énéon était plus mal en point qu'il ne l'aurait imaginer, il avait reussi a affronter la tempête, mais il en avait garder des séquelles. Sur son bras droit, une longue entaille saigner abondément. Elle était de grande taille, sa seul chance était de la soigner rapidement. Il avait aussi un mal de tête impossible, des bourdonnement incéssant lui montérent au oreille. Il essayas de remmettre les chose en ordre dans sa tête, tout était dispercer. Comment allait t'il faire maintenant ? Il arrachat un bout de sa cape, et il enroulat son membre blesser.

Les minutes passèrent, allonger dans le sable dure, il regardait droit devant lui. Cela fessait plusieurs minutes déjà qu'il écoutait les pas d'une personne. Ils était calme, plutôt lent. Cette personne se promenais tranquillement. Le demi Démon, devinas qu'il s'agissais d'une femme, elle portait des vetement en cuir. Elle vennait d'un sous bois. Énéon ne vus pas ses geste mais il devinas ses intention en effleurant sa conscience. Elle voulait juste voir se qu'il fessait là, de la simple curiositer. Il regardat rapidement son histoire, son carathère sa façon d'agir et ses tatique de combat si il avait se battre. Il plongeas ses yeux profond dans ceux de Melliandra. Il n'aimais pas la gentillesse, et il savais que si il avait été en état il l'aurais mal prit, mais la situation était différente, il était mal, très mal. Son sang coulait en silence, tachant son bout de cape de rouge. Il attrappas la main de la jeune humain. Il prit son ton le plus doux et il lui dit.

Mon bateau a échouer, ou nous sommes ?

Malgrès qu'il est essayer d'avoir un ton aimable sa voix avait été un peu seche et froide. Il serras un peu plus fort les doigt chaud de Melliandre, avec les sien froid et humide. Depuis qu'il avait quitter son " chez lui " c'était la première fois qu'il était gentil comme sa avec un personne...

Melliandra regarda plus attentivement le heune homme. Elle grimaça. Sa blessure semblait profaonde et necessiterait sans doute pas mal de soins. Elle qui était venu là par curiosité ! C'était du gratiné ! Le jeune homme avait l'air de perdre pied à la réalité.
Soudain, il lui attrappa la main et Mellie dut resister à la pulsion de la retirer, et vite ! C'était bête mais ce mouvemennt banal lui avait fait presque peur... Bon sang mais que lui arrivait-il ? C'était lui qui la mettait sur les dents ?! Cet homme étrange qui pour le moment semblant plus mort que vif ?
Elle revint brusquement à la réalité à sa question. Sa manière de la poser était étrange, comme si...comme si c'était la première fois qu'il demandait quelque chose au lieu de l'exiger. Ce n'était peut-être qu'une impression mais c'était bizarre. Ca devait être dû à cette voix glacée... Comment ça ? Il ne venait pas d'Avalon ? Mais... Etrange, Mellie ne pensait pas qu'il existait un continent aussi proche... M'enfin c'était pas le moment de s'interroger alors qu'un homme saignait dans la poussière !
Se rendant compte du silence plein de malaise, Melliandra finit par répondre :

"Mais ! A Avalon bien sûr... Au fait si tu me disais ton nom j'avoue que j'apprécierai grandement ! "

Et sans autre forme de procès elle serra la main du jeune homme et avec une force étonnante pour une fille de sa stature se glissa sous son épaule pour soutenir sa marche jusqu'au sac que Melliandra avait laissé vers le chemin. Elle pourrait ainsi parée au plus pressé à défaut de guérir parfaitement le jeune homme.
Elle grimps le petit côteau avec difficulté, chancelente sous le corps de l'inconnu. C'est qu'il pesait son poids mine de rien le bougre ! Elle l'assit sur le bord de la route avant de prendre de l'alcool, du fil, une aiguille et un bandage dans son fourre-tout. Avec le métier qu'elle pratiquait elle avait fini par prendre l'habitude d'avoir le nécessaire.
Elle revint vite vers son étrange patient plus pâle que jamais, avant de le prévenir :

Je vais m'occuper de ton entaille...Mais ça risque de faire mal !

Interieurement elle pesta contre sa malchance... C'est vrai ! Alors qu'elle devait être au plus vite à Palanthas elle se chargeait d'un inconnu ! Inquiétant qui plus est ! C'était vraiment pas dans ses habitudes...